Chacun s'estime victime et jamais responsable, dans une attitude de souffrance fataliste. Un sentiment d'impuissance baigne les institutions et on accuse inévitablement racisme et violence oubliant les vrais problèmes. Les auteurs préconisent de faire confiance à l'intelligence collective, avec une thérapie sociale redonnant la parole à tous les acteurs et renouant ainsi avec la démocratie.