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La surprise est de taille. Un trio nommé Jazz Sabbath, formé en 1968, dit à l'avant-garde d'un nouveau mouvement jazz qui émergeait en Angleterre, sort le 17 avril son album éponyme. Le contenu : sept titres rendus célèbres au début des années 70 par le légendaire groupe britannique de metal, Black Sabbath !

Compilation, éditions orginales : P 1933-1959

Rami Khalifé, pianiste et compositeur inclassable, membre du duo Aufgang, est né à Beyrouth en 1981. Il est le fils de Marcel Khalifé, artiste phare de la chanson arabe au Moyen-Orient sacré Unesco Artist for Peace , et le frère du musicien Bachar Mar Khalifé. Depuis quelques années, après ses études au Conservatoire de Boulogne-Billancourt et à la Julliard School de New York où il découvre l électro et rencontre Francesco Tristano avec qui il fondera Aufgang, il poursuit une carrière internationale comme pianiste et compositeur de musique qui transgresse les limites. " Lost " est une approche personnelle et contemporaine de l'instrument, Rami créant le dialogue à travers la symbiose totale entre son corps et le piano. L album transgresse les idées établies, casse les codes en se plaçant dans une vision punk subversive. Son but ultime est de transformer cet instrument " classique " en un instrument d'avenir, en mélangeant des milliers d'extraits sonores organiques et synthétiques. " Lost " est un voyage qui fusionne différents mondes en un seul : l'Orient et l'Occident, le baroque du XVIIème siècle et le XVIIIème siècle et l'électro, le psychédélique et le classique.

Douze enregistrements studio inédits réalisés entre 1968 et 1970 qui dévoilent la dimension expérimentale du travail du légendaire guitariste après sa période Experience. C'est-à-dire que le génial gaucher a enregistré ces morceaux sans ses comparses du Jimi Hendrix Experience, mais avec de nouveaux musiciens, notamment Stephen Stills, Buddy Miles, Billy Cox, alors qu'il envisageait une nouvelle direction expérimentale après l'album Electric ladyland. Il y joue des claviers, des percussions et d'une seconde guitare.

The turn of the 17th century represents not only the golden age of the Venetian Republic, but one of the most variegated moments in the history of Western art music. The innovations of the Venetian School, influential far beyond the confines of its native lagoon, represent the culmination of a stylistic evolution in a period of aesthetic transition from the high Renaissance to the early Baroque. The instrumental music of ôLa Serenissimaö is celebrated not only for the enormous historical, cultural, and artistic inheritence that it represents, but, quite simply, for its sheer beauty.